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comment la volonté extrême de résoudre un problème peut tendre à l'absurditè ?
Quel est l'interêt profond dans la résolution de problèmes?
D'ailleurs, la résolution de problèmes existe-t-elle?

Le problème n'est-il simplement pas une situation de la vie un peu plus identifiée qui fait objet. Quidam peut alors concentrer son énergie sur la structure à résoudre, sans être interfere par les nébuleuses complexes et environnantes.

Prenons le problème comme un trappe vers des éléments identifiables de la vie. Pourrais- je écrire du réel? Je n'en sais rien.

Ma tendance excessive a employer le mot réel n'est pas spécialement gênante s'il m'est permis de resituer dans quel champs j'emploie ce signifiant. c'est au réel de l'expérience que je me réfère - assez souvent pour le noter - à l'intersection de cette conscience lisible ou pas et de la matière qu'elle structure.
On suppose alors que la conscience est un modifiant de la matière et que la matière reste un support toujours déjà deja structuré de la conscience. Un lecteur dirige son fil et décale l'intention de l'auteur.
Il n'y a aucun mystère.
Mais encore, il n'y a que ça, puisque ce réel, lié à la conscience dans son rapport à son support matiere, n'est pas une notion, ni même un concept, c'est une mémoire, dans tout ce qu'elle n'est pas souvenir.

On a alors dès maintenant une foule de rapports à définir :

problème - résolution
problème - réel
réel - expérience
réel - conscience
réel - mémoire
problème - expérience
problème - mémoire
expérience - conscience - mémoire

Ce ne sont pas ces quelques pages simples nommées "leaves soft" qui me donneront l'espace nécessaire à la résolution de ces définitions. Par ailleurs, je n'en ressent aucune nécessité, j'ai la mauvaise habitude de me garder ces espaces pour développer de tous autres problèmes - illusions.
Et l'incomplétude
(C'est alors que l'obscurité se fait et que je me trouve dans l'impossibilité d'écrire)




le réel c'est de la mémoire
le réel est une mémoire
le réel - mémoire

mais moi réel